Veränderungen in der Geschäftsstelle

Helen Gebhart übergibt die Geschäftsführung der SMG an Luc Vallat. In einem kurzen Interview sprechen die beiden Musikwissenschaftler über ihre Verbindung zur SMG.

Après plusieurs années consacrées à la direction de la SSM, Helen Geb-hart quitte son poste afin de s’engager dans un projet de doctorat à l’Université de Bâle, sous la supervision d’Hanna Walsdorf. Avant d’endosser le rôle de responsable de la SSM, Helen a effectué des études de musicologie à l’Université de Bâle. En 2021, elle avait repris le poste de responsable de la SSM à la suite de Benedict Zemp.

Helen Gebhart est remplacée par Luc Vallat. Après des études de musicologie à l’Université de Fribourg, Luc a réalisé un doctorat à l’Université de Berne, sous la direction de Cristina Urchueguía. Actuellement chargé de cours suppléant à l’Université de Genève et collaborateur scientifique pour divers projets, il a repris le poste de responsable de la SSM depuis le 1er mai 2024.

Au moment de se passer le relais, Helen et Luc se sont interviewés mutuellement. Entre souvenirs et projections, les deux musicologues évoquent leurs liens avec la SSM.

Helen Gebhart, du warst in den letzten drei Jahren Geschäftsführerin der SMG. Was war deine Rolle innerhalb dieses Vereins?
Meine Arbeit war sehr vielfältig: ich habe die Vereinsgeschäfte der Zentralgesellschaft, wie die Hauptversammlung, Sitzungen des Zentralvorstands, organisiert, habe die Redaktion für das Schweizer Jahrbuch für Musikwissenschaft gemacht, war verantwortlich für RILM Schweiz und habe Artikel für die SMZ verfasst.

Als Geschäftsführerin hast du verschiedene Aktivitäten geleitet. Welche davon hat dich am meisten geprägt?
Die Publikation des SJM fand ich eine schöne Arbeit, wenngleich eine Herausforderung. Besonders hat mir an dieser Stelle gefallen, dass ich stets neue Leute aus den unterschiedlichsten Musikbereichen kennen gelernt habe.

Was haben dir die drei Jahre bei der SMG als Musikwissenschaftlerin gebracht?
Ich habe verschiedene Forschungsbereiche und -ansätze neu kennen gelernt, und konnte meine Recherche- und redaktionellen Kompetenzen deutlich ausbauen. Mein Horizont in der Musikforschung und dem Arbeitsleben hat sich dadurch deutlich erweitert. 

Nun schlägst du ein neues Kapitel in deiner Karriere auf, indem du dich als Doktorandin dem SNF-Forschungsprojekt «The Night Side of Music» anschliesst. Was ist das übergeordnete Thema dieses Projekts? Worauf wird sich deine Doktorarbeit im Besonderen konzentrieren?
Wie der Titel des Projekts schon andeutet, werden wir uns mit Musik und Nacht in früheren Jahrhunderten auseinandersetzen und erforschen, was «Nachtmusik» ist, wie z.B. ob es einen Unterschied zur «Tagmusik» gibt. In meinem Projektteil lege ich den Fokus auf die Stadt Basel. Man darf gespannt sein! 

Cher Luc, quel a été jusqu’à présent ton lien avec la SSM ?
Pendant la réalisation de mon doctorat, j’ai rejoint la section bernoise de la SSM, avant d’en devenir le vice-président en 2020. Je garde en particulier un excellent souvenir d’un atelier de danse de la renaissance que nous avions organisé en 2021. Etant également rédacteur pour le Dictionnaire du Jura, je m’intéresse beaucoup au Dictionnaire de la musique en Suisse. Je suis donc très heureux de rejoindre la direction de la SSM afin de m’investir dans les multiples facettes de cette société académique !

La SSM est une société plus que centenaire. Quels sont les défis qu’elle devra relever dans les années à venir ?
Toute association est continuellement confrontée à la question du maintien et du renouvellement de ses membres. Il me semble donc important de prendre en considération les intérêts de chacune et de chacun dans les activités de la SSM. Je pense notamment aux nouvelles générations de musicologues, aux différentes régions linguistiques ou encore aux champs d’études et aux projets variés de notre discipline.

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